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- Les livres
- 1906 – Le tiroir secret
- 1908 – Le parfum des roses fanées
- 1909 – Les ironies sentimentales
- Préface (Monsieur Derème , au cœur trop tendre,)
- Dédicace ( Comme j’allais, couvert de la poussière du voyage,)
- Prélude (Le Passé maugréait et frappait à la porte.)
- Droite, dans la candeur des voiles, à l’orée
- D’allégresse vibrant de la nuque au talon,
- J’exprimais autrefois d’une façon morose
- Mon espérance était tombée
- Le vent perce la porte et souffle sur le feu
- Le temps est achevé des cris et des tempêtes
- Tu parus. Mais, les doigts posés sur le loquet,
- Par les matins d’hiver quand je lisais tes lettres,
- Quand tu m’auras quitté, (ne lève pas les bras),
- J’avais toujours rêvé d’éternelles amours.
- Ô vous qui par le bout du nez me conduisîtes,
- Celui qui partira loin de la ville, qu’il le
- L’ENTHOUSIASME. L’enthousiasme comme un peuple de frelons,
- 1910 – Érène ou l’été fleuri
- 1910 – Petits poèmes
- 1911 – Petit cahier
- 1912 – Le poème de la pipe et de l’escargot
- Que mes poèmes soient étranges
- Je vais songer à la jeune fille que j’ai
- Tes bras ont une courbe adorable et malgré que
- Je crayonne ton nom sur la peau d’un tambour
- Et naguère aux midis de résine imprégnés,
- Chambre d’hôtel ou flotte une odeur de benzine,
- Le décor somptueux et lourd d’étoffe rouge
- Bien qu’avec passion à mes bras tu te livres,
- C’est le feuillage noir des platanes que perce
- Puisque tout est pareil aux feuillages labiles,
- Les fraises sur le plat de blanche porcelaine
- Prends ton manteau. Suspends les plaintes éternelles
- Non, ce n’est pas cela que tu avais rêvé
- Reste dans ta coquille et dédaigne, escargot,
- Lève le nez, ferme ton livre et ton pupitre.
- 1931 – Songes du poète
- 1935 – Le violon des muses
- Les préfaces
- Poèmes en musique
- 1923 – 3 chants sur 3 poèmes par Georges Migot
- 1923 – La Verdure dorée, en musique par Jacques Ibert
- 1925 – 5 poèmes de la Verdure Dorée par Maurice Imbert
- 1926 – La Barégeoise par Tristan Derème
- 1929 – 4 poèmes par Robert Montfort
- 1929 – Deux Poèmes par Maxime Jacob
- 1933 – 4 poèmes mis en musique par Louis de Crèvecœur
- 1933 – Sept poèmes par Philippe Gaubert
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