Ici nous vous proposons l’inventaire des ouvrages entièrement consacrés à Tristan Derème ou dans lesquels il en est question .
1924 – Romantiques d’aujourd’hui , Maurice Gauchez, Éditions de la Renaissance d’Occident, Bruxelles.
1924 –La Revue Fédéraliste n°77 , Cahier mensuel des soirées du Petit-Versailles, Lyon.
Un article sur Tristan Derème par Henri Martineau
1925 – Les poètes fantaisistes définis par eux-mêmes et leurs amis, Premier cahier de « Feuilles au Vent » 8, rue du Coq-d’Inde, à Toulouse , Lyon.
1926 – Deux contre-élégies pour Tristan Derème, Les amis de Tristan Derème n°1, imp. Émile Lefeuvre à Saint-Calais (Sarthe).
1926 – Nos poètes, Librairie Alphonse Lemerre, Paris. Anthologie des poètes de l’éditeur.
Un article sur Tristan Derème par F. Breton
1927 – Tristan Derème, Henri Martineau, Le Divan.
1928 – Le rayon des jupes, 13 poèmes pour Tristan Derème, Léon Laleau, Les amis de Tristan Derème n°5, imp. Émile Lefeuvre à Saint-Calais (Sarthe).
1929 – Anthologie des écrivains du Béarn – Éditions de La Herrade Pau
Une notice sur Tristan Derème par Paul Martignon
1930 – La maison de Tristan Derème, Antoine Riquoir, Imprimerie et Librairie Édouard Privat, Toulouse.
1930 – Tristan Derème à 20 ans , Paul Mieille, Imprimerie Lesbordes, Tarbes.
1933 – Le Béarn littéraire, Louis Ducla, Éditions de la Herrade, Pau.
Deux pages consacrées à Tristan Derème dans cet ouvrage qui en compte quarante quatre.
Louis Ducla, l’animateur de l’Académie des lettres Pyrénéennes y qualifie le fantaisiste de « Lamartine en chapeau melon » et reprend les propos de celui-ci sur les poètes dits mineurs quand il en présente la défense : « Qui peint un grillon peint en réalité toute la terre… ».
1938 – Le livre et le troène, Maurice Rat, Poitiers, imp. Marc Texier, réédition 100ex.
Écrit en 1928. À la manière de Tristan Derème, convoquant les personnages chers à celui-ci, Maurice Rat son grand ami, écrit une tranche de vie, hommage à la bibliophilie, la poésie et l’amour. On y découvre (ce qui m’avais échappé) que Madame Baramel serait une nièce mariée de Théodore Decalandre. Serait-ce donc la Mimithé, Marie-Thérèse, de l’Enlèvement sans clair de lune (1925), elle aussi nièce du fameux double de Derème ?
Une petite charge contre Dada : « …et qu’il faut-être aussi barbare que M. Tzara, ce dadaïste qui a pris à Tristan Derème son prénom, pour parler d’inspiration nouvelle et de littérature neuve. »
1939 – La poésie méridionale, Jeanne Marvig, Éditions de Tolosa, Toulouse
Un chapitre sur Tristan Derème.
1940 – Bohème d’artistes, Francis Carco, Albin Michel
1942 – Le souvenir de Tristan Derème , Le Divan (ouvrage collectif)
1960 – La crise des valeurs symbolistes, vingt ans de poésie française 1895-1914, l’indispensable ouvrage de Michel Decaudin, Honoré Champion, réédité en 2013, comportant un chapitre sur les fantaisistes: Les séductions de la fantaisie.
1989 –Guirlande pour Tristan Derème à l’occasion du centenaire de sa naissance, supplément à la Revue de Pau et du Béarn.
Ouvrage collectif
1990 – Tristan Derème, La revue régionaliste des Pyrénées (ouvrage collectif).
Ouvrage collectif à l’occasion du centenaire de la naissance de Tristan Derème.
2002 – Tristan Derème, Le téléscope et le danseur, Daniel Aranjo, Atlantica.
essai biographique
Disponible chez l’auteur : aranjo@hotmail.fr