Les ironies sentimentales
Bibliothèque de « Poésie » Toulouse 1909
Hors commerce
3 exemplaires hors-séries et 171 exemplaires numérotés par l’auteur
- Préface. Monsieur Derème, au cœur trop tendre
- Dédicace. Comme j’allais, couvert de la poussière du voyage,
- Prélude. Le Passé maugréait et frappait à la porte.
- I. Droite, dans la candeur des voiles, à l’orée
- II. D’allégresse vibrant de la nuque au talon,
- III. J’exprimais autrefois d’une façon morose
- IV. Mon espérance était tombée
- V. Le vent perce la porte et souffle sur le feu ;
- VI. Le temps est achevé des cris et des tempêtes ;
- VII. Tu parus. Mais, les doigts posés sur le loquet,
- VIII. Par les matins d’hiver quand je lisais tes lettres,
- IX. Quand tu m’auras quitté, (ne lève pas les bras),
- X. J’avais toujours rêvé d’éternelles amours.
- XI. O vous qui par le bout du nez me conduisîtes,
- XII. Celui qui partira loin de la ville, qu’il le
- L’enthousiasme. L’enthousiasme comme un peuple de frelons,