Les fonds qui nous intéressent dans les Hautes-Pyrénées sont essentiellement  liés à l’activité professionnelle de Tristan Derème: sa carrière comme secrétaire parlementaire du député Armand-Achille Fould.
Nous trouverons aussi un fonds en relation avec son activité littéraire et journalistique locale.

Le fonds Fould

Nous y trouvons des documents concernant  le bureau du député à Tarbes. (description non exhaustive – prochainement documents en ligne):

  • La correspondance de Tristan Derème à Alphonse Lacaze. 28 lettres autographes ou dactylographiées portant essentiellement sur le fonctionnement du bureau et les affaires du député.
    Tristan Derème est secrétaire d’Armand-Achille Fould à Paris. À Tarbes, à la villa Fould, il y a au moins trois employés. Deux secrétaires, Mme Baudet-Plazolles (née Dazet), Mlle Herou et un responsable, M. Alphonse Lacaze ancien chef de bureau du cabinet du préfet, nouvellement venu, remplaçant François Maupomé décédé, au moment du démarrage de cette correspondance, le 5 juin 1930.
  •  Deux lettres d’Alphonse Lacaze à Tristan Derème.
  •  Cinq lettres autographes d’Armand Achille Fould à Tristan Derème.
  • Nous trouvons aussi un petit carnet de Tristan Derème démarrant le 17 décembre 1929 contenant des notes sur des interventions dans des affaires du député.

Le fonds Louise Baudet-Plazolle née Dazet

Louise Dazet était employée au bureau d’Armand-Achille Fould de Tarbes.

  • 45 lettres autographes ou dactylographiées, documents, cartes postales  de Tristan Derème à Louise Dazet. Correspondance essentiellement  d’ordre professionnel ou banale et policée, enfin presque!

Le fonds d’archives des familles Mieille et Durand-Dastes

Paul Mieille, figure locale tarbaise, était entre autre rédacteur en chef de la revue Pyrénées Océan dans laquelle Tristan Derème publia des poèmes et des chroniques de 1911 à 1913. Paul Mieille publiera un recueil de ces chroniques sous le titre de Rêveries tarbaises. Il a aussi écrit un Tristan Derème à 20 ans.

  • Nous ne trouverons pas de documents témoignant de la relation entre le rédacteur et le poète mais essentiellement des documents concernant la famille Mieille, dont Suzanne la fille de Paul, qui fut sans doute la muse qui inspira L’enlèvement au clair de lune du fantaisiste.
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